Carlo Ancelotti a analysé le match contre l'Espanyol, une nette victoire madrilène sur le score final (1-3) mais pour lequel l'équipe blanche a eu besoin d'un surcroît d'énergie comme elle en a rarement eu besoin.
SUR MATCH : "On a très bien commencé, on a marqué puis on est descendu. après leur égalité c'était plus compliqué. Cela s'est terminé par un match à double sens et nous étions très bons là-bas."
SUR CAMAVINGA : "Quand il entre dans un jeu cassé, son énergie nous aide beaucoup. Nous avons gagné le match à cause de cette énergie. Celle de Camavinga, Rodrygo ou Ceballos. Le jeu était lent et nous l'avons changé. chaque parti a son histoire. Vous ne pouvez pas savoir si nous n'avions pas commencé avec eux, nous aurions eu ce contrôle. Ou si avec Kroos et Modric entrant en seconde période, nous aurions eu cette énergie. Parfois, choisir, c'est parier et aujourd'hui, je pense que l'entraîneur du Real Madrid a bien parié".
RISQUER : "Cela pourrait être une option, mais un autre attaquant pourrait augmenter le risque. J'ai une confiance totale en lui. Il viendra. Je ne suis pas un entraîneur de joueurs, je suis un entraîneur du Real Madrid."
LA SITUATION D'ASENSIO : "Ce n'est pas pour protéger qui que ce soit, si c'est pour ça que je vais le laisser sur le canapé."
SUR EDEN HAZARD : "Hazard ? J’ai confiance. Il aura des occasions de jouer. Aujourd’hui c’était une option, mais je ne voulais pas déséquilibrer l’équipe avec un attaquant. C’était un risque."
RÜDIGER ET ALABA : "J'ai choisi Rüdiger comme défenseur central à cause du potentiel de Joselu dans les airs. Et à cause de la qualité d'Alaba à attaquer en tant qu'arrière latéral".
LA QUALITÉ DE L'EFFECTIF : "Si je veux protéger un joueur, je le laisse à la maison. J'ai fais quatre changements et j'aurais pu en faire cinq. Mais j'aurais pu utiliser n'importe quel joueur et j'ai choisi de faire entrer Dani car il a plus d'expérience".
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